On peut créer des variantes à l'infini en fonction notamment de ses centres d'intérêt. Moi même j'avais imaginé avec un ami pongiste comme moi de coupler les échecs avec le tennis de table.
Ce qui me gêne un peu ce ne sont pas les variantes en elles-mêmes mais qu'on considère, comme c'est parfois le cas, que les échecs classiques sont trop simples et qu'il y a lieu de complexifier le jeu.
Cependant, je dois admettre que je suis moins gêné quand c'est le champion du monde américain Bobby Fischer qui le dit alors qu'il lance les échecs aléatoires qui portent son nom. Mais là, on est dans le domaine de l'exception.
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